Au service du diable
La plus longue nuit du diable
- Réalisateur : Jean Brismée
- 1971
- 1h31min
- Epouvante/Horreur
- français
Pour regarder votre film sur un téleviseur avec ChromeCast ou une AppleTV, consultez le mode d'emploi pour TV
Résumé
Berlin, 1944. Son épouse morte en couches, le baron von Rhoneberg tue son enfant, espérant mettre un terme à l'antique malédiction familiale, qui veut que chaque fille devienne une succube au service du diable. 25 ans plus tard, sept personnes voyagent dans la Forêt Noire. Ils vont frapper à la porte du château du baron pour demander asile...
Titres alternatifs : La nuit des pétrifiés et La plus longue nuit du diable.
L'avis des bibliothèques

Autres infos
- Titre original / Sous-titre
- La plus longue nuit du diable
- Editeur / Distributeur
- Cetelci S.A.
- Pays
-
- Belgique
- France
- Italie
- Année
- 1971
- Sortie cinéma
- 21/12/1973
- Casting
-
- Jean Brismée - Réalisateur
- Pierre-Claude Garnier - Scénariste
- Patrice Rhomm - Scénariste
- Erika Blanc - Comédienne
- Jean Servais - Comédien
- Daniel Emilfork - Comédien
- Jacques Monseu - Comédien
- Alessandro Alessandroni - Compositeur
- Lucien Raimbourg - Comédien
- Colette Emmanuelle - Comédienne
- Ivana Novak - Comédienne
- Shirley Corrigan - Comédienne
- Critiques
Cette brochette d'interprètes sert avec brio cette bande gentiment érotique aux accents gothiques. La réalisation est sans génie mais appliquée (bien que le rythme soit peu soutenu), elle utilise avec talent les magnifiques décors naturels du Château d'Antoing (près de Tournai). La série de meurtres perpétrée par notre succube s'avère parfois d'une belle richesse plastique, à l'image de cette victime avalée par des sables mouvants dorés à l'or fin. D'autres scènes plus travaillées suscite l'intérêt telle celle qui voit Jean Servais jouer l'alchimiste dans son laboratoire. La musique lancinante d'Alessandro Alessandroni fait merveille et rend indispensable la vision de cette petite série B pleine de charme. sueursfroides.fr
"Au service du diable" réussit au final à donner une richesse d'atmosphère inespérée et un rythme souffrant de très peu de pannes. Partant des clichés du genre, il développe sa petite musique bien à lui. Son regard dédaigneux pour le réalisme et la logique ajoute au charme global. Les meurtres apparaissent assez timides, mais l'intérêt ne semble pas pointer dans cette direction. Le sinistre Daniel Emilfork, semblant prendre beaucoup de plaisir à incarner le Diable, et l'ensorcelante Erika Blanc, en plus de sa garde-robe mémorable, propulsent ce conte gothique vers le mémorable. devildead.com
- Catégorie
-
Long-métrage