Les Infortunes de la beauté
1 crédit
- Réalisateur : John Lvoff
- 1998
- 1h18min
- Comédie dramatique
- français
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Résumé
Pour mieux séduire Vincent, quelque peu volage, Daphné ourdit un plan aussi charmant que machiavélique avec l'aide de son amie Céline. C'est ainsi que Daphné et Céline partent à la recherche de la beauté parfaite à travers Paris. Les deux complices déambulent, évitent, tranchent, manigancent sans fin et, avec l'aide d'un peintre et d'un collectionneur, nous entrainent dans une ronde folle dont on ne sait qui la mène, et qui en sera la victime.
L'avis des bibliothèques

Autres infos
- Editeur / Distributeur
- Les Films Alain Sarde
- Pays
-
- France
- Année
- 1998
- Sortie cinéma
- 11/08/1999
- Sortie VOD
- 16/05/2017
- Casting
-
- John Lvoff - Réalisateur
- Frederic Beigbeder - Scénariste
- John Lvoff - Scénariste
- Arielle Dombasle - Comédienne
- Maria De Medeiros - Comédienne
- Thibault de Montalembert - Comédien
- Jean-Philippe Ecoffey - Comédien
- Louis-Do de Lencquesaing - Comédien
- Leonor Varela - Comédienne
- Frederic Beigbeder - Comédien
- Paulo Branco - Comédien
- Critiques
- Si ce film était une pochade à prendre au second degré, on rirait devant son inspiration à la Mel Brooks, ses jeux de mots et ses nymphettes évanescentes qui sillonnent les rues de Paris. Il est malheureusement à craindre qu'il se prenne au sérieux. Le MondeAux bonnes comédies, il faut des acteurs formidables et des démarrages nets. Les défauts des Infortunes de la beauté résident justement dans le manquement à ces deux nécessités. LibérationQuestion d'amour, question de hasard, John Lvoff décline tout cela et quelques autres choses encore, ni plus originales, ni plus intéressantes et à l'arrivée cela fait un film de plus. Etait-ce vraiment nécessaire ? Le Nouvel ObservateurCet inepte "conte moderne" (...) pourrait être un film de vacances pour comédiens très honorables ailleurs, mais ici abandonnés, si l'entreprise n'était pas plombée par une terrible chape de prétention. Les Inrockuptibles(...) malgré la référence transparente aux "Comédies et Proverbes", de Rohmer, la fantaisie tourne à vide. Le vernis de marivaudage cérébral masque mal les trivialités charriées par les dialogues, où il est bien difficile de distinguer l'(auto) dérision. Télérama
- Catégorie
-
Long-métrage
- Niveau scolaire
-
Collège / 4é-3é
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